Ukraine libre

Mère de l’enfant terrible qui la persécute, l’Ukraine sera viking, russe, mongole, polonaise, soviétique avant d’exister sous son propre nom. Comme quoi, il nous reste de l’espoir… Une culture que l’on a voulu nier, une musique fabuleuse – vraiment! - que l’on découvre avec vous.
 

Sous les étoiles de la nuit cosaque

Ukraine mère de son enfant maudit : la Russie. Centre de la Rous, mongole, lituanienne, polonaise puis russe, l'Ukraine redécouvre son âme au XIXe siècle. Celle du Dniepr, des steppes infinies et de la nuit cosaque.

Musique de Lysenko, Skoryk et Sylvestrov
Quatuor Voxpopuli et Patrick Mathieu

Holodomor : Famines et Soviets

L'indépendance retrouvée pour à peine un instant. Sous les bottes de l'armée rouge, l'Ukraine crève de faim pendant que Lénine et Staline vendent son blé à l'étranger.

Musique de Lyatoshynsky
Serhiy Salov, piano, Quatuor Voxpopuli et Patrick Mathieu


 

Chute, indépendance et agressions

Une culture qui fleurit malgré les canons de l'art officiel du Parti et la négation de la spécificité ukrainienne. Le communisme devient mafia et l'Ukraine se bat pour échapper aux griffes de son «grand frère». Une glorieuse révolution suivit des agressions russes.

Musique de Lyatoshynsky, Glière et Lysenko
Aline Kutan, soprano, Quatuor Voxpopuli et Patrick Mathieu