Alors que l’Allemagne s’unifie, sa musique se divise. Dans le coin droit, Johannes Brahms, et dans le coin gauche, Richard Wagner. La lutte se fait à coups d’articles, de discussions ou plus simplement à coups de poings… Wagner pavoise et Brahms fait ce qu’il fait de mieux dans la vie après composer : il s’en fout comme seul Brahms peut s’en foutre.